ABLAVAR 0,25 mmol-ml, solution injectable, boîte de 1 flacon de 10 ml
Retiré du marché le : 01/12/2016
Dernière révision : 07/07/2008
Taux de TVA : 2.1%
Laboratoire exploitant : BAYER HEALTHCARE PHARMACEUTICALS
Ce médicament est à usage diagnostique uniquement.
Rehaussement du contraste en angiographie par résonance magnétique (ARM).
VASOVIST est indiqué pour l'angiographie par résonance magnétique avec renforcement du contraste pour la visualisation des vaisseaux de l'abdomen ou des membres chez les patients atteints ou suspectés d'être atteints d'une pathologie vasculaire.
Rehaussement du contraste en angiographie par résonance magnétique (ARM).
VASOVIST est indiqué pour l'angiographie par résonance magnétique avec renforcement du contraste pour la visualisation des vaisseaux de l'abdomen ou des membres chez les patients atteints ou suspectés d'être atteints d'une pathologie vasculaire.
CONTRE-INDIQUE :
- Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients.
- Allaitement : on ignore si le gadofosveset trisodique est excrété dans le lait maternel humain. Lors d'une étude chez l'animal, il a été montré que moins de 1% de la dose de gadofosveset administrée se retrouve dans le lait maternel. En raison du manque de données cliniques, ce médicament ne doit pas être utilisé pendant l'allaitement.
- Les précautions de sécurité usuelles concernant l'imagerie par résonance magnétique doivent être respectées, par exemple exclusion des patients porteurs d'un stimulateur cardiaque ou d'un implant ferromagnétique.
DECONSEILLE :
- Des cas de fibrose systémique néphrogénique (FSN) associée à l'utilisation de certains produits de contraste contenant du gadolinium ont été rapportés chez des patients :
. atteints d'une insuffisance rénale sévère aiguë ou chronique (Clairance Estimée de la Créatinine < 30 ml/min/1,73 m²) ou
. présentant une insuffisance rénale aiguë, quel qu'en soit le degré de sévérité, due à un syndrome hépatorénal ou durant la période pré ou post-opératoire de transplantation hépatique.
Etant donné qu'il est possible que des cas de FSN surviennent avec VASOVIST, ce produit ne doit être utilisé chez ces patients qu'après une évaluation attentive du rapport bénéfice/risque, et si l'information diagnostique ne peut être obtenue par d'autres moyens.
- Nouveau-nés, nourrissons, enfants et adolescents : l'utilisation chez les nouveau-nés, les nourrissons, les enfants et les adolescents est déconseillée. On ne dispose encore d'aucune expérience clinique chez des patients de moins de 18 ans.
- Grossesse : il n'existe aucune donnée appropriée concernant l'utilisation de gadofosveset trisodique chez la femme enceinte. Des études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effets sur la fertilité ou sur le développement périnatal et post-natal. Une toxicité embryonnaire et foetale a été observée chez le lapin après administration répétée. En raison du manque d'expérience, VASOVIST ne doit pas être utilisé chez la femme enceinte, sauf en cas de nécessité absolue.
- Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients.
- Allaitement : on ignore si le gadofosveset trisodique est excrété dans le lait maternel humain. Lors d'une étude chez l'animal, il a été montré que moins de 1% de la dose de gadofosveset administrée se retrouve dans le lait maternel. En raison du manque de données cliniques, ce médicament ne doit pas être utilisé pendant l'allaitement.
- Les précautions de sécurité usuelles concernant l'imagerie par résonance magnétique doivent être respectées, par exemple exclusion des patients porteurs d'un stimulateur cardiaque ou d'un implant ferromagnétique.
DECONSEILLE :
- Des cas de fibrose systémique néphrogénique (FSN) associée à l'utilisation de certains produits de contraste contenant du gadolinium ont été rapportés chez des patients :
. atteints d'une insuffisance rénale sévère aiguë ou chronique (Clairance Estimée de la Créatinine < 30 ml/min/1,73 m²) ou
. présentant une insuffisance rénale aiguë, quel qu'en soit le degré de sévérité, due à un syndrome hépatorénal ou durant la période pré ou post-opératoire de transplantation hépatique.
Etant donné qu'il est possible que des cas de FSN surviennent avec VASOVIST, ce produit ne doit être utilisé chez ces patients qu'après une évaluation attentive du rapport bénéfice/risque, et si l'information diagnostique ne peut être obtenue par d'autres moyens.
- Nouveau-nés, nourrissons, enfants et adolescents : l'utilisation chez les nouveau-nés, les nourrissons, les enfants et les adolescents est déconseillée. On ne dispose encore d'aucune expérience clinique chez des patients de moins de 18 ans.
- Grossesse : il n'existe aucune donnée appropriée concernant l'utilisation de gadofosveset trisodique chez la femme enceinte. Des études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effets sur la fertilité ou sur le développement périnatal et post-natal. Une toxicité embryonnaire et foetale a été observée chez le lapin après administration répétée. En raison du manque d'expérience, VASOVIST ne doit pas être utilisé chez la femme enceinte, sauf en cas de nécessité absolue.
Les examens diagnostiques impliquant l'utilisation de produits de contraste pour IRM doivent être effectués sous la surveillance d'un médecin possédant une formation adéquate et une connaissance approfondie de la procédure à effectuer. Il est indispensable de disposer des équipements nécessaires pour pouvoir faire face à une éventuelle complication lors de l'examen, ainsi que pour assurer le traitement d'urgence d'éventuelles réactions sévères vis-à-vis du produit de contraste.
Les précautions de sécurité usuelles concernant l'imagerie par résonance magnétique doivent être respectées, par exemple exclusion des patients porteurs d'un stimulateur cardiaque ou d'un implant ferromagnétique.
Comme pour tout examen à visée diagnostique avec renforcement du contraste, une surveillance du patient après l'examen est recommandée, en particulier dans le cas des patients ayant des antécédents d'allergie, d'insuffisance rénale ou de réactions médicamenteuses.
MISE EN GARDE CONCERNANT L'HYPERSENSIBILITE :
Le risque de survenue de réaction, y compris une réaction grave ou mettant en jeu le pronostic vital, ou d'évolution fatale, ou anaphylactoïde ou cardiovasculaire ou toute autre réaction idiosyncrasique, doit toujours être envisagée, tout particulièrement chez les patients présentant une hypersensibilité clinique connue, ou ayant déjà présenté une réaction avec des produits de contraste, ou ayant des antécédents d'asthme ou d'autres pathologies allergiques. L'expérience avec d'autres produits de contraste indique que le risque de réactions d'hypersensibilité est plus important chez ces patients. Des réactions retardées sont susceptibles de se produire (de plusieurs heures à plusieurs jours après administration).
DES PRECAUTIONS DOIVENT EGALEMENT ETRE PRISES DANS LES CAS SUIVANTS :
- Réactions d'hypersensibilité :
En cas de réaction d'hypersensibilité (voir rubrique effets indésirables), arrêter immédiatement l'administration de produit de contraste et, si nécessaire, instaurer un traitement spécifique par voie intraveineuse. Il est dès lors conseillé d'utiliser une canule à demeure souple pour l'administration intraveineuse du produit de contraste. En raison de la possibilité de réactions d'hypersensibilité sévères suite à l'administration intraveineuse de produit de contraste, il est nécessaire d'être préparé à la mise en oeuvre de mesures de réanimation d'urgence et de disposer du matériel nécessaire (tube endotrachéal, respirateur, médicaments appropriés...).
- Fonction rénale altérée :
. Comme le gadofosveset est éliminé de l'organisme principalement par excrétion urinaire, la prudence est de rigueur chez les patients souffrant d'insuffisance rénale (voir rubrique propriétés pharmacocinétiques). Aucun ajustement de la dose n'est nécessaire chez les patients souffrant d'insuffisance rénale.
Des cas de fibrose systémique néphrogénique (FSN) associée à l'utilisation de certains produits de contraste contenant du gadolinium ont été rapportés chez des patients :
* atteints d'une insuffisance rénale sévère aiguë ou chronique (Clairance Estimée de la Créatinine < 30 ml/min/1,73 m²) ou
* présentant une insuffisance rénale aiguë, quel qu'en soit le degré de sévérité, due à un syndrome hépatorénal ou durant la période pré ou post-opératoire de transplantation hépatique.
. Etant donné qu'il est possible que des cas de FSN surviennent avec VASOVIST, ce produit ne doit être utilisé chez ces patients qu'après une évaluation attentive du rapport bénéfice/risque, et si l'information diagnostique ne peut être obtenue par d'autres moyens.
. La fonction rénale des patients (en particulier ceux âgés de plus de 65 ans) doit être évaluée à partir de l'analyse des données cliniques et/ou des examens de laboratoire.
. Chez les patients régulièrement hémodialysés, la réalisation d'une hémodialyse peu de temps après l'administration de VASOVIST peut s'avérer utile pour éliminer le produit. Lors d'un essai clinique, il a été démontré que le gadofosveset peut être efficacement éliminé de l'organisme par dialyse en utilisant des filtres à haut flux.
. Cependant, il n'a pas été établi que l'hémodialyse puisse prévenir le risque de FSN ou la traiter. Elle ne doit donc pas être utilisée comme une mesure préventive ou curative chez les patients qui ne seraient pas déjà hémodialysés régulièrement.
- Modifications de l'électrocardiogramme :
Des niveaux élevés de gadofosveset [par exemple utilisation répétée à court terme (dans un délai de 6-8 heures, ou surdosage involontaire > 0,05 mmol/kg)] peuvent être associés à un léger allongement du QT (8,5 millisecondes après correction de Fridericia). Dans le cas de niveaux élevés de gadofosveset ou d'allongement et de sous-décalage du QT le patient doit être soigneusement surveillé en incluant un monitorage cardiaque.
- Stents vasculaires :
Des études publiées ont montré que la présence de stents métalliques lors d'une angiographie par résonance magnétique provoquait des artefacts. La fiabilité de la visualisation de la lumière des vaisseaux avec un stent n'a pas été évaluée avec VASOVIST.
Les précautions de sécurité usuelles concernant l'imagerie par résonance magnétique doivent être respectées, par exemple exclusion des patients porteurs d'un stimulateur cardiaque ou d'un implant ferromagnétique.
Comme pour tout examen à visée diagnostique avec renforcement du contraste, une surveillance du patient après l'examen est recommandée, en particulier dans le cas des patients ayant des antécédents d'allergie, d'insuffisance rénale ou de réactions médicamenteuses.
MISE EN GARDE CONCERNANT L'HYPERSENSIBILITE :
Le risque de survenue de réaction, y compris une réaction grave ou mettant en jeu le pronostic vital, ou d'évolution fatale, ou anaphylactoïde ou cardiovasculaire ou toute autre réaction idiosyncrasique, doit toujours être envisagée, tout particulièrement chez les patients présentant une hypersensibilité clinique connue, ou ayant déjà présenté une réaction avec des produits de contraste, ou ayant des antécédents d'asthme ou d'autres pathologies allergiques. L'expérience avec d'autres produits de contraste indique que le risque de réactions d'hypersensibilité est plus important chez ces patients. Des réactions retardées sont susceptibles de se produire (de plusieurs heures à plusieurs jours après administration).
DES PRECAUTIONS DOIVENT EGALEMENT ETRE PRISES DANS LES CAS SUIVANTS :
- Réactions d'hypersensibilité :
En cas de réaction d'hypersensibilité (voir rubrique effets indésirables), arrêter immédiatement l'administration de produit de contraste et, si nécessaire, instaurer un traitement spécifique par voie intraveineuse. Il est dès lors conseillé d'utiliser une canule à demeure souple pour l'administration intraveineuse du produit de contraste. En raison de la possibilité de réactions d'hypersensibilité sévères suite à l'administration intraveineuse de produit de contraste, il est nécessaire d'être préparé à la mise en oeuvre de mesures de réanimation d'urgence et de disposer du matériel nécessaire (tube endotrachéal, respirateur, médicaments appropriés...).
- Fonction rénale altérée :
. Comme le gadofosveset est éliminé de l'organisme principalement par excrétion urinaire, la prudence est de rigueur chez les patients souffrant d'insuffisance rénale (voir rubrique propriétés pharmacocinétiques). Aucun ajustement de la dose n'est nécessaire chez les patients souffrant d'insuffisance rénale.
Des cas de fibrose systémique néphrogénique (FSN) associée à l'utilisation de certains produits de contraste contenant du gadolinium ont été rapportés chez des patients :
* atteints d'une insuffisance rénale sévère aiguë ou chronique (Clairance Estimée de la Créatinine < 30 ml/min/1,73 m²) ou
* présentant une insuffisance rénale aiguë, quel qu'en soit le degré de sévérité, due à un syndrome hépatorénal ou durant la période pré ou post-opératoire de transplantation hépatique.
. Etant donné qu'il est possible que des cas de FSN surviennent avec VASOVIST, ce produit ne doit être utilisé chez ces patients qu'après une évaluation attentive du rapport bénéfice/risque, et si l'information diagnostique ne peut être obtenue par d'autres moyens.
. La fonction rénale des patients (en particulier ceux âgés de plus de 65 ans) doit être évaluée à partir de l'analyse des données cliniques et/ou des examens de laboratoire.
. Chez les patients régulièrement hémodialysés, la réalisation d'une hémodialyse peu de temps après l'administration de VASOVIST peut s'avérer utile pour éliminer le produit. Lors d'un essai clinique, il a été démontré que le gadofosveset peut être efficacement éliminé de l'organisme par dialyse en utilisant des filtres à haut flux.
. Cependant, il n'a pas été établi que l'hémodialyse puisse prévenir le risque de FSN ou la traiter. Elle ne doit donc pas être utilisée comme une mesure préventive ou curative chez les patients qui ne seraient pas déjà hémodialysés régulièrement.
- Modifications de l'électrocardiogramme :
Des niveaux élevés de gadofosveset [par exemple utilisation répétée à court terme (dans un délai de 6-8 heures, ou surdosage involontaire > 0,05 mmol/kg)] peuvent être associés à un léger allongement du QT (8,5 millisecondes après correction de Fridericia). Dans le cas de niveaux élevés de gadofosveset ou d'allongement et de sous-décalage du QT le patient doit être soigneusement surveillé en incluant un monitorage cardiaque.
- Stents vasculaires :
Des études publiées ont montré que la présence de stents métalliques lors d'une angiographie par résonance magnétique provoquait des artefacts. La fiabilité de la visualisation de la lumière des vaisseaux avec un stent n'a pas été évaluée avec VASOVIST.
- Les effets indésirables les plus fréquemment associés au médicament sont : prurit, paresthésies, céphalées, nausées, vasodilatation, sensations de brûlure et dysgueusie. La majorité des effets indésirables sont d'intensité faible à modérée.
La plupart des réactions indésirables (80%) sont survenues dans les deux heures après administration.
Néanmoins, des réactions retardées (de plusieurs heures à plusieurs jours après administration) sont susceptibles de se produire.
Données des essais cliniques :
Au cours des essais cliniques sur plus de 1800 patients, les effets indésirables suivants ont été observés.
- Le tableau ci-dessous répertorie les effets indésirables selon la classe de systèmes d'organes MedDRA.
- Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés dans l'ordre décroissant de gravité.
Classes de systèmes d'organes (MedDRA).
- Infections et infestations :
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Rhinopharyngite.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Cellulite. Infection des voies urinaires.
- Affections du système immunitaire :
Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Hypersensibilité.
- Troubles du métabolisme et de la nutrition :
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Hyperglycémie. Déséquilibre électrolytique (dont hypocalcémie).
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Hyperkaliémie. Hypokaliémie. Hypernatrémie. Diminution de l'appétit.
- Affections psychiatriques :
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Anxiété. Confusion.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Hallucination. Rêves anormaux.
- Affections du système nerveux :
. Fréquents (> = 1/100) : Céphalées. Paresthésie. Dysgueusie. Sensation de brûlure.
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Etourdissements (à l'exclusion des vertiges). Tremblements. Hypo-esthésie. Parosmie. Agueusie. Contractions musculaires involontaires.
- Affections oculaires :
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Vision anormale. Augmentation de la sécrétion lacrymale.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Sensation anormale au niveau oculaire. Asthénopie.
- Affections de l'oreille et du labyrinthe :
Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Douleurs auriculaires.
- Affections cardiaques :
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Bloc auriculoventriculaire de premier degré. Prolongation du segment QT à l'électrocardiogramme. Tachycardie. Anomalies de l'électrocardiogramme.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Flutter cardiaque. Ischémie myocardique. Bradycardie. Fibrillation auriculaire. Palpitations. Sous-décalage du segment ST à l'électrocardiogramme. Diminution d'amplitude de l'onde T à l'électrocardiogramme.
- Affections vasculaires :
. Fréquents (> = 1/100) : Vasodilatation (dont bouffées).
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Phlébite. Hypertension. Refroidissement périphérique.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Réaction anaphylactoïde. Hypotension. Artériosclérose.
- Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales :
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Dyspnée. Toux.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Dépression respiratoire.
- Affections gastro-intestinales :
. Fréquents (> = 1/100) : Etats nauséeux.
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Vomissements. Nausées. Diarrhées. Douleurs abdominales. Douleur pharyngolaryngée. Gêne abdominale. Flatulence. Hypo-esthésie des lèvres. Hypersécrétion salivaire. Dyspepsie. Sécheresse buccale. Prurit anal.
- Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
. Fréquents (> = 1/100) : Prurit.
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Urticaire. Eruption (rash). Erythème. Sudation excessive.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Oedème facial. Moiteur.
- Affections musculosquelettiques et systémiques et affections osseuses :
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Douleurs dans les membres. Douleur dans le cou. Crampes musculaires. Spasmes musculaires.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Raideur musculaire. Sensation de lourdeur.
- Affections du rein et des voies urinaires :
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Hématurie. Micro-albuminurie. Glycosurie.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Miction impérieuse. Douleur rénale. Pollakiurie.
- Affections des organes de reproduction et du sein :
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Prurit génital. Sensation de brûlure génitale.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Douleur pelvienne.
- Troubles généraux et anomalies au site d'administration :
. Fréquents (> = 1/100) : Sensation de froid.
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Douleur. Douleur thoracique. Douleur inguinale. Fatigue. Sensations anormales. Sensation de chaleur. Douleur au point d'injection. Erythème au point d'injection. Sensation de froid au point d'injection.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Fièvre. Frissons. Faiblesse. Sensation d'oppression thoracique. Thrombose au point d'injection. Contusion au point d'injection. Inflammation au point d'injection. Sensation de brûlure au point d'injection. Extravasation au point d'injection. Hémorragie au point d'injection. Prurit au point d'injection. Sensation de pression.
- Lésions et intoxications :
Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Douleur au niveau du membre fantôme.
- Comme pour les autres produits de contraste intraveineux, ce médicament peut être associé à des réactions anaphylactoïde/d'hypersensibilité caractérisées par des manifestations cutanées, respiratoires et/ou cardiovasculaires pouvant engendrer un choc.
La plupart des réactions indésirables (80%) sont survenues dans les deux heures après administration.
Néanmoins, des réactions retardées (de plusieurs heures à plusieurs jours après administration) sont susceptibles de se produire.
Données des essais cliniques :
Au cours des essais cliniques sur plus de 1800 patients, les effets indésirables suivants ont été observés.
- Le tableau ci-dessous répertorie les effets indésirables selon la classe de systèmes d'organes MedDRA.
- Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés dans l'ordre décroissant de gravité.
Classes de systèmes d'organes (MedDRA).
- Infections et infestations :
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Rhinopharyngite.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Cellulite. Infection des voies urinaires.
- Affections du système immunitaire :
Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Hypersensibilité.
- Troubles du métabolisme et de la nutrition :
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Hyperglycémie. Déséquilibre électrolytique (dont hypocalcémie).
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Hyperkaliémie. Hypokaliémie. Hypernatrémie. Diminution de l'appétit.
- Affections psychiatriques :
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Anxiété. Confusion.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Hallucination. Rêves anormaux.
- Affections du système nerveux :
. Fréquents (> = 1/100) : Céphalées. Paresthésie. Dysgueusie. Sensation de brûlure.
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Etourdissements (à l'exclusion des vertiges). Tremblements. Hypo-esthésie. Parosmie. Agueusie. Contractions musculaires involontaires.
- Affections oculaires :
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Vision anormale. Augmentation de la sécrétion lacrymale.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Sensation anormale au niveau oculaire. Asthénopie.
- Affections de l'oreille et du labyrinthe :
Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Douleurs auriculaires.
- Affections cardiaques :
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Bloc auriculoventriculaire de premier degré. Prolongation du segment QT à l'électrocardiogramme. Tachycardie. Anomalies de l'électrocardiogramme.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Flutter cardiaque. Ischémie myocardique. Bradycardie. Fibrillation auriculaire. Palpitations. Sous-décalage du segment ST à l'électrocardiogramme. Diminution d'amplitude de l'onde T à l'électrocardiogramme.
- Affections vasculaires :
. Fréquents (> = 1/100) : Vasodilatation (dont bouffées).
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Phlébite. Hypertension. Refroidissement périphérique.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Réaction anaphylactoïde. Hypotension. Artériosclérose.
- Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales :
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Dyspnée. Toux.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Dépression respiratoire.
- Affections gastro-intestinales :
. Fréquents (> = 1/100) : Etats nauséeux.
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Vomissements. Nausées. Diarrhées. Douleurs abdominales. Douleur pharyngolaryngée. Gêne abdominale. Flatulence. Hypo-esthésie des lèvres. Hypersécrétion salivaire. Dyspepsie. Sécheresse buccale. Prurit anal.
- Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
. Fréquents (> = 1/100) : Prurit.
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Urticaire. Eruption (rash). Erythème. Sudation excessive.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Oedème facial. Moiteur.
- Affections musculosquelettiques et systémiques et affections osseuses :
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Douleurs dans les membres. Douleur dans le cou. Crampes musculaires. Spasmes musculaires.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Raideur musculaire. Sensation de lourdeur.
- Affections du rein et des voies urinaires :
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Hématurie. Micro-albuminurie. Glycosurie.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Miction impérieuse. Douleur rénale. Pollakiurie.
- Affections des organes de reproduction et du sein :
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Prurit génital. Sensation de brûlure génitale.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Douleur pelvienne.
- Troubles généraux et anomalies au site d'administration :
. Fréquents (> = 1/100) : Sensation de froid.
. Peu fréquents (> = 1/1000 à < 1/100) : Douleur. Douleur thoracique. Douleur inguinale. Fatigue. Sensations anormales. Sensation de chaleur. Douleur au point d'injection. Erythème au point d'injection. Sensation de froid au point d'injection.
. Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Fièvre. Frissons. Faiblesse. Sensation d'oppression thoracique. Thrombose au point d'injection. Contusion au point d'injection. Inflammation au point d'injection. Sensation de brûlure au point d'injection. Extravasation au point d'injection. Hémorragie au point d'injection. Prurit au point d'injection. Sensation de pression.
- Lésions et intoxications :
Rares (> = 1/10000 à < 1/1000) : Douleur au niveau du membre fantôme.
- Comme pour les autres produits de contraste intraveineux, ce médicament peut être associé à des réactions anaphylactoïde/d'hypersensibilité caractérisées par des manifestations cutanées, respiratoires et/ou cardiovasculaires pouvant engendrer un choc.
PREVENIR IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de prurit, gonflement au niveau de la gorge ou de la langue.
Grossesse :
Il n'existe aucune donnée appropriée concernant l'utilisation de gadofosveset trisodique chez la femme enceinte. Des études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effets sur la fertilité ou sur le développement périnatal et post-natal. Une toxicité embryonnaire et foetale a été observée chez le lapin après administration répétée (voir rubrique données de sécurité précliniques).
En raison du manque d'expérience, VASOVIST ne doit pas être utilisé chez la femme enceinte, sauf en cas de nécessité absolue.
Allaitement :
On ignore si le gadofosveset trisodique est excrété dans le lait maternel humain. Lors d'une étude chez l'animal, il a été montré que moins de 1% de la dose de gadofosveset administrée se retrouve dans le lait maternel.
En raison du manque de données cliniques, ce médicament ne doit pas être utilisé pendant l'allaitement.
Il n'existe aucune donnée appropriée concernant l'utilisation de gadofosveset trisodique chez la femme enceinte. Des études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effets sur la fertilité ou sur le développement périnatal et post-natal. Une toxicité embryonnaire et foetale a été observée chez le lapin après administration répétée (voir rubrique données de sécurité précliniques).
En raison du manque d'expérience, VASOVIST ne doit pas être utilisé chez la femme enceinte, sauf en cas de nécessité absolue.
Allaitement :
On ignore si le gadofosveset trisodique est excrété dans le lait maternel humain. Lors d'une étude chez l'animal, il a été montré que moins de 1% de la dose de gadofosveset administrée se retrouve dans le lait maternel.
En raison du manque de données cliniques, ce médicament ne doit pas être utilisé pendant l'allaitement.
- Comme le gadofosveset se lie à l'albumine, une interaction avec d'autres substances actives se liant aux protéines plasmatiques (par exemple l'ibuprofène et la warfarine) est généralement possible, c'est-à-dire qu'une compétition pour le site de liaison aux protéines est susceptible de se produire.
Néanmoins, au cours d'une série d'études d'interactions médicamenteuses in vitro (dans 4,5% de sérumalbumine humaine et dans du plasma humain), le gadofosveset n'a présenté aucune interaction indésirable avec la digitoxine, le propranolol, le vérapamil, la warfarine, la phenprocoumone, l'ibuprofène, le diazépam, le kétoprofène, le naproxène, le diclofénac et le piroxicam aux concentrations recommandées. Des études in vitro utilisant des microsomes hépatiques humains n'indiquaient aucune capacité à inhiber le système enzymatique du cytochrome P450.
- Au cours d'une étude clinique, il a été démontré que le VASOVIST n'affecte pas la fraction non liée de la warfarine dans le plasma. L'activité anticoagulante de la warfarine n'était pas modifiée et l'efficacité du médicament n'était pas influencée.
INTERACTIONS AVEC DES PARAMETRES DE LABORATOIRE :
Au cours des essais cliniques utilisant le VASOVIST, aucune tendance spécifique indiquant une interaction potentielle du médicament avec des méthodes d'analyse de laboratoire n'a été observée.
Néanmoins, au cours d'une série d'études d'interactions médicamenteuses in vitro (dans 4,5% de sérumalbumine humaine et dans du plasma humain), le gadofosveset n'a présenté aucune interaction indésirable avec la digitoxine, le propranolol, le vérapamil, la warfarine, la phenprocoumone, l'ibuprofène, le diazépam, le kétoprofène, le naproxène, le diclofénac et le piroxicam aux concentrations recommandées. Des études in vitro utilisant des microsomes hépatiques humains n'indiquaient aucune capacité à inhiber le système enzymatique du cytochrome P450.
- Au cours d'une étude clinique, il a été démontré que le VASOVIST n'affecte pas la fraction non liée de la warfarine dans le plasma. L'activité anticoagulante de la warfarine n'était pas modifiée et l'efficacité du médicament n'était pas influencée.
INTERACTIONS AVEC DES PARAMETRES DE LABORATOIRE :
Au cours des essais cliniques utilisant le VASOVIST, aucune tendance spécifique indiquant une interaction potentielle du médicament avec des méthodes d'analyse de laboratoire n'a été observée.
Ce médicament doit être administré en injection unique en bolus par voie intraveineuse, manuellement ou à l'aide d'un injecteur automatique pour IRM, en 30 secondes au maximum, suivie d'un rinçage par 25 à 30 ml de sérum physiologique.
Ce médicament ne doit être utilisé que par des médecins spécialisés dans le domaine de l'imagerie diagnostique.
- Posologie :
Adultes : 0,12 ml/kg de poids corporel (équivalent à 0,03 mmol/kg).
- Séquences d'imagerie :
L'imagerie dynamique débute immédiatement après l'injection. L'imagerie à l'équilibre peut débuter après la prise des images dynamiques. Lors des essais cliniques, l'imagerie a eu lieu jusqu'à environ une heure après l'injection.
- Insuffisance rénale, insuffisance hépatique :
Aucun ajustement de la dose n'est nécessaire chez les patients souffrant d'insuffisance hépatique ou rénale (voir rubriques mises en garde et précautions d'emploi et propriétés pharmacocinétiques).
- Nouveau-nés, nourrissons, enfants et adolescents :
L'utilisation chez les nouveau-nés, les nourrissons, les enfants et les adolescents est déconseillée. On ne dispose encore d'aucune expérience clinique chez des patients de moins de 18 ans.
- On ne dispose d'aucune information clinique concernant l'utilisation répétée de ce médicament.
Ce médicament ne doit être utilisé que par des médecins spécialisés dans le domaine de l'imagerie diagnostique.
- Posologie :
Adultes : 0,12 ml/kg de poids corporel (équivalent à 0,03 mmol/kg).
- Séquences d'imagerie :
L'imagerie dynamique débute immédiatement après l'injection. L'imagerie à l'équilibre peut débuter après la prise des images dynamiques. Lors des essais cliniques, l'imagerie a eu lieu jusqu'à environ une heure après l'injection.
- Insuffisance rénale, insuffisance hépatique :
Aucun ajustement de la dose n'est nécessaire chez les patients souffrant d'insuffisance hépatique ou rénale (voir rubriques mises en garde et précautions d'emploi et propriétés pharmacocinétiques).
- Nouveau-nés, nourrissons, enfants et adolescents :
L'utilisation chez les nouveau-nés, les nourrissons, les enfants et les adolescents est déconseillée. On ne dispose encore d'aucune expérience clinique chez des patients de moins de 18 ans.
- On ne dispose d'aucune information clinique concernant l'utilisation répétée de ce médicament.
Durée de conservation :
3 ans.
Après ouverture : le médicament doit être utilisé immédiatement.
Précautions particulières de conservation :
Conserver le flacon pour injection dans la boîte en carton afin de le protéger de la lumière.
3 ans.
Après ouverture : le médicament doit être utilisé immédiatement.
Précautions particulières de conservation :
Conserver le flacon pour injection dans la boîte en carton afin de le protéger de la lumière.
En l'absence d'études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments.
VASOVIST a été testé chez l'homme à des doses allant jusqu'à 0,15 mmol/kg (5 fois la dose clinique). Aucune conséquence clinique d'un surdosage du médicament n'a été décrite. Le traitement en cas de surdosage doit viser à maintenir toutes les fonctions vitales et à instaurer rapidement un traitement symptomatique. Le gadofosveset peut être éliminé efficacement de l'organisme par dialyse à haut flux (voir rubrique propriétés pharmacocinétiques). Dans l'éventualité d'un surdosage accidentel, le patient doit être maintenu sous observation attentive, comprenant un monitorage cardiaque (voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi).
Classe pharmacothérapeutique : PRODUITS DE CONTRASTE PARAMAGNETIQUES, code ATC : V08CA.
VASOVIST est une formulation d'un chélate stable d'acide gadoliniumdiéthylènetriaminepentaacétique (GdDTPA) substitué par un groupe diphénylcyclohexylphosphate (gadofosveset trisodique), destiné à être utilisé en imagerie par résonance magnétique (IRM).
Le gadofosveset se lie de manière réversible à la sérumalbumine humaine. La liaison aux protéines accroît jusqu'à dix fois la relaxivité T1 du gadofosveset par rapport aux chélates de gadolinium non liés aux protéines. Lors des études chez l'homme, le gadofosveset raccourcit notablement les valeurs de T1 du sang jusqu'à 4 heures après injection intraveineuse d'une dose unique. La relaxivité mesurée dans le plasma était de 33,4 à 45,7 mMpuissance-1spuissance-1 pour un intervalle de dose allant jusqu'à 0,05 mmol/kg à 20 MHz. Des images ARM à haute résolution des structures vasculaires pouvant être obtenues jusqu'à une heure après administration de ce médicament. La fenêtre d'imagerie vasculaire prolongée du gadofosveset est due à une relaxivité accrue et à un séjour prolongé dans l'espace vasculaire résultant de sa liaison aux protéines plasmatiques. Aucune étude comparative avec le gadolinium extracellulaire n'a été réalisée.
VASOVIST est une formulation d'un chélate stable d'acide gadoliniumdiéthylènetriaminepentaacétique (GdDTPA) substitué par un groupe diphénylcyclohexylphosphate (gadofosveset trisodique), destiné à être utilisé en imagerie par résonance magnétique (IRM).
Le gadofosveset se lie de manière réversible à la sérumalbumine humaine. La liaison aux protéines accroît jusqu'à dix fois la relaxivité T1 du gadofosveset par rapport aux chélates de gadolinium non liés aux protéines. Lors des études chez l'homme, le gadofosveset raccourcit notablement les valeurs de T1 du sang jusqu'à 4 heures après injection intraveineuse d'une dose unique. La relaxivité mesurée dans le plasma était de 33,4 à 45,7 mMpuissance-1spuissance-1 pour un intervalle de dose allant jusqu'à 0,05 mmol/kg à 20 MHz. Des images ARM à haute résolution des structures vasculaires pouvant être obtenues jusqu'à une heure après administration de ce médicament. La fenêtre d'imagerie vasculaire prolongée du gadofosveset est due à une relaxivité accrue et à un séjour prolongé dans l'espace vasculaire résultant de sa liaison aux protéines plasmatiques. Aucune étude comparative avec le gadolinium extracellulaire n'a été réalisée.
DISTRIBUTION :
Le profil concentration plasmatique-temps du gadofosveset administré par voie intraveineuse est compatible avec un modèle ouvert à deux compartiments. Après administration intraveineuse d'une dose de 0,03 mmol/kg, la demi-vie moyenne de la phase de distribution (t1/2alpha) est de 0,48 +/- 0,11 heure et le volume de distribution à l'équilibre de 148 +/- 16 ml/kg, ce qui correspond approximativement au volume de liquide extracellulaire. La liaison aux protéines plasmatiques se situe dans un intervalle de 80% à 87% pendant les quatre premières heures après injection.
METABOLISME :
Les résultats de diverses évaluations d'échantillons de plasma et d'urine indiquent que le gadofosveset ne subit aucun métabolisme mesurable.
ELIMINATION :
Chez des volontaires sains, le gadofosveset est principalement éliminé par voie urinaire, 84% (intervalle 79-94%) de la dose injectée (0,03 mmol/kg) étant excrétée dans les urines en 14 jours. Quatre-vingt quatorze pour cent (94%) de l'excrétion urinaire survient au cours des premières 72 heures. Une faible proportion de la dose de gadofosveset se retrouve dans les selles (4,7%, intervalle 1,1-9,3%), ce qui indique un rôle mineur de l'excrétion biliaire dans l'élimination du gadofosveset. Après administration intraveineuse d'une dose de 0,03 mmol/kg, la clairance rénale (5,51 +/- 0,85 ml/h/kg) et la clairance totale (6,57 +/- 0,97 ml/h/kg) sont similaires et la demi-vie moyenne d'élimination terminale est de 18,5 +/- 3,0 heures.
CARACTERISTIQUES CHEZ LES PATIENTS :
- Insuffisance rénale :
Chez les patients atteints d'insuffisance rénale modérée à sévère, la demi-vie est significativement prolongée et l'ASC est augmentée d'un facteur 2 à 3.
- Patients sous hémodialyse :
Le gadofosveset peut être éliminé de l'organisme par hémodialyse. Après administration intraveineuse d'une dose unique de 0,05 mmol/kg chez des patients nécessitant trois fois par semaine une hémodialyse avec un filtre à haut flux, à la fin de la troisième séance de dialyse, la concentration plasmatique était descendue à moins de 15% de la Cmax. Au cours des séances de dialyse, la demi-vie moyenne de réduction de la concentration plasmatique est de l'ordre de 5 à 6 heures. La clairance moyenne par dialyse se situe entre 16 et 32 ml/h/kg. Un filtre de dialyse à haut flux est plus efficace qu'un filtre à bas flux, aussi l'utilisation d'un filtre de dialyse à haut flux est recommandée.
- Insuffisance hépatique :
La pharmacocinétique plasmatique et la liaison aux protéines du gadofosveset ne sont pas significativement influencées par une insuffisance hépatique modérée (Child Pugh B). On observe une légère réduction de l'élimination fécale de gadofosveset chez les sujets atteints d'insuffisance hépatique (2,7%) comparés à des sujets normaux (4,8%). Chez un sujet atteint d'insuffisance hépatique modérée et présentant des taux d'albumine sérique anormalement faibles, la clairance totale et la demi-vie du gadofosveset indiquaient une clairance plus rapide que chez des sujets atteints d'insuffisance hépatique modérée et présentant des taux d'albumine sérique normaux.
Le profil concentration plasmatique-temps du gadofosveset administré par voie intraveineuse est compatible avec un modèle ouvert à deux compartiments. Après administration intraveineuse d'une dose de 0,03 mmol/kg, la demi-vie moyenne de la phase de distribution (t1/2alpha) est de 0,48 +/- 0,11 heure et le volume de distribution à l'équilibre de 148 +/- 16 ml/kg, ce qui correspond approximativement au volume de liquide extracellulaire. La liaison aux protéines plasmatiques se situe dans un intervalle de 80% à 87% pendant les quatre premières heures après injection.
METABOLISME :
Les résultats de diverses évaluations d'échantillons de plasma et d'urine indiquent que le gadofosveset ne subit aucun métabolisme mesurable.
ELIMINATION :
Chez des volontaires sains, le gadofosveset est principalement éliminé par voie urinaire, 84% (intervalle 79-94%) de la dose injectée (0,03 mmol/kg) étant excrétée dans les urines en 14 jours. Quatre-vingt quatorze pour cent (94%) de l'excrétion urinaire survient au cours des premières 72 heures. Une faible proportion de la dose de gadofosveset se retrouve dans les selles (4,7%, intervalle 1,1-9,3%), ce qui indique un rôle mineur de l'excrétion biliaire dans l'élimination du gadofosveset. Après administration intraveineuse d'une dose de 0,03 mmol/kg, la clairance rénale (5,51 +/- 0,85 ml/h/kg) et la clairance totale (6,57 +/- 0,97 ml/h/kg) sont similaires et la demi-vie moyenne d'élimination terminale est de 18,5 +/- 3,0 heures.
CARACTERISTIQUES CHEZ LES PATIENTS :
- Insuffisance rénale :
Chez les patients atteints d'insuffisance rénale modérée à sévère, la demi-vie est significativement prolongée et l'ASC est augmentée d'un facteur 2 à 3.
- Patients sous hémodialyse :
Le gadofosveset peut être éliminé de l'organisme par hémodialyse. Après administration intraveineuse d'une dose unique de 0,05 mmol/kg chez des patients nécessitant trois fois par semaine une hémodialyse avec un filtre à haut flux, à la fin de la troisième séance de dialyse, la concentration plasmatique était descendue à moins de 15% de la Cmax. Au cours des séances de dialyse, la demi-vie moyenne de réduction de la concentration plasmatique est de l'ordre de 5 à 6 heures. La clairance moyenne par dialyse se situe entre 16 et 32 ml/h/kg. Un filtre de dialyse à haut flux est plus efficace qu'un filtre à bas flux, aussi l'utilisation d'un filtre de dialyse à haut flux est recommandée.
- Insuffisance hépatique :
La pharmacocinétique plasmatique et la liaison aux protéines du gadofosveset ne sont pas significativement influencées par une insuffisance hépatique modérée (Child Pugh B). On observe une légère réduction de l'élimination fécale de gadofosveset chez les sujets atteints d'insuffisance hépatique (2,7%) comparés à des sujets normaux (4,8%). Chez un sujet atteint d'insuffisance hépatique modérée et présentant des taux d'albumine sérique anormalement faibles, la clairance totale et la demi-vie du gadofosveset indiquaient une clairance plus rapide que chez des sujets atteints d'insuffisance hépatique modérée et présentant des taux d'albumine sérique normaux.
Aucune étude sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'a été réalisée.
- Les données précliniques issues des études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, de toxicité aiguë, de tolérance locale, de potentiel de sensibilisation par contact et de génotoxicité n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme.
Aucune étude de cancérogenèse n'a été réalisée.
- Toxicité de doses répétées :
Les études de toxicologie en administration répétée ont révélé une vacuolisation des cellules tubulaires rénales avec de fortes présomptions de réversibilité de cet effet. Aucune détérioration fonctionnelle n'a été constatée et des études au microscope électronique sur des reins de rat indiquaient que la vacuolisation observée était principalement due à un phénomène de stockage. Les effets étaient plus marqués chez le rat que chez le singe, probablement en raison de la clairance rénale plus élevée chez le rat. Chez le singe, aucun effet rénal n'était observé après une administration unique, même à une dose cent fois plus élevée que la dose clinique.
- Toxicité pour les fonctions de reproduction :
Chez le lapin, on a constaté une augmentation du nombre de résorptions précoces et une augmentation légère mais significative du nombre d'anomalies foetales (en particulier hydrocéphalie et rotation anormale des membres) à des doses pour lesquelles aucune toxicité maternelle ou seulement une toxicité maternelle légère était observée (exposition correspondant respectivement à 2 et 5 fois le niveau d'exposition attendu chez l'homme).
Aucune étude de cancérogenèse n'a été réalisée.
- Toxicité de doses répétées :
Les études de toxicologie en administration répétée ont révélé une vacuolisation des cellules tubulaires rénales avec de fortes présomptions de réversibilité de cet effet. Aucune détérioration fonctionnelle n'a été constatée et des études au microscope électronique sur des reins de rat indiquaient que la vacuolisation observée était principalement due à un phénomène de stockage. Les effets étaient plus marqués chez le rat que chez le singe, probablement en raison de la clairance rénale plus élevée chez le rat. Chez le singe, aucun effet rénal n'était observé après une administration unique, même à une dose cent fois plus élevée que la dose clinique.
- Toxicité pour les fonctions de reproduction :
Chez le lapin, on a constaté une augmentation du nombre de résorptions précoces et une augmentation légère mais significative du nombre d'anomalies foetales (en particulier hydrocéphalie et rotation anormale des membres) à des doses pour lesquelles aucune toxicité maternelle ou seulement une toxicité maternelle légère était observée (exposition correspondant respectivement à 2 et 5 fois le niveau d'exposition attendu chez l'homme).
- Ce médicament est délivré prêt à l'emploi et se présente sous la forme d'une solution aqueuse limpide, incolore à jaune pâle.
Ne pas utiliser les produits de contraste en cas de coloration anormale, en présence de particules ou lorsque le conditionnement est défectueux.
- Les flacons contenant du VASOVIST ne sont pas destinés au prélèvement de doses multiples. Le bouchon de caoutchouc ne doit jamais être percé plus d'une fois. Après prélèvement de la solution dans le flacon, celle-ci doit être utilisée immédiatement.
Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation locale en vigueur.
Ne pas utiliser les produits de contraste en cas de coloration anormale, en présence de particules ou lorsque le conditionnement est défectueux.
- Les flacons contenant du VASOVIST ne sont pas destinés au prélèvement de doses multiples. Le bouchon de caoutchouc ne doit jamais être percé plus d'une fois. Après prélèvement de la solution dans le flacon, celle-ci doit être utilisée immédiatement.
Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation locale en vigueur.
Liste I.
Solution limpide, incolore à jaune pâle.
Flacon de 10 ml en verre incolore de type I avec bouchon en élastomère de chloro- ou bromobutyle et capsule à rebord en aluminium (disque en plastique).
1 x 10 ml (en flacon de verre de 10 ml).
1 x 10 ml (en flacon de verre de 10 ml).